Voici l'histoire de notre peuple, écrit par notre cher ami diplomate Kaworu :
Iris était le nom d’un peuple simple, sans histoire et pacifiste. À l’époque, Les Irisiens étaient tous gaulois et venaient des régions les plus reculées afin de se joindre à eux, mais plus tard vinrent quelques romains et germains.
Leur premier chef, Carttini premier du nom était respecté par tous et est toujours considéré comme ayant été le plus sage.
Malgré leur pacifisme, ce peuple possédait une armée assez conséquente pour se protéger de toute menace, armée qui dissuada rapidement tout assaillant puisqu’elle combinait la férocité des germains, l’esprit protecteur des cavaliers gaulois et la discipline militaire des romains.
Plusieurs siècles passèrent sans querelles ni guerres. C’est alors qu’une très grande tribu du nom de Èscédouz proposa de joindre la grande peuplade des Iris.
Le chef actuel, Pontrix ainsi que le chef de guerre Pasarr acceptèrent d’accueillir cette tribu avec honneur. Une grande fête fut célébrée pour l’occasion.
La nuit même, alors que le guerrier nommé Srèdd se promena à moitié ivre, il trouva une main, déposée à même la terre. Dans le doute, il décida de creuser, et découvrit que derrière cette main il y avait un bras, puis sous le bras il y avait une épaule. Affolé il creusa encore et remarqua que derrière l’épaule il y avait le reste du cadavre de Pontrix dans lequel était planté une arme de Èscédouz. Il bu, puis sonna l’alarme.
Tous ne purent pas se réveiller, en effet, les gens de cette tribu étaient en train d’assassiner les guerriers Irisiens dans leurs sommeils, l’armée d’Iris rappliquât juste à temps et boutèrent les ennemis hors des murs.
L’effectif du peuple ayant diminué de moitié, tous se rassemblèrent pour parler de ce qu’il fallait faire, car tous pensèrent que cette attaque s’en suivrait d’une autre plus terrifiante encore.
Alors le peuple eu deux idées, la première, suggérée par Petus, un ancien centurion romain, était de rejoindre les ennemis et de se rendre sans condition aux Èscédouz, puis, après réflexion il proposa de se rendre à condition d’avoir la vie sauve. La seconde idée fut proposée par des gens du peuple, elle consistait à se déplacer sur les terres de Sèrverin pour reconstituer les idées et protéger la culture du peuple.
Petus se rendit compte que certains ne voulurent pas se rendre, il prononça alors la phrase encore connue de nos jours : « Vous avez plus de seize ans, vous n’êtes pas obligés de venir ! », puis lui ainsi qu’une majorité partirent chez l’ennemi.
Les autres, constituant une démographie d’une centaine de personne partirent sur les nouvelles terres, et gardèrent une certaine rancœur vis-à-vis du peuple qui les a trahi.
Peu après s’être installés, ils apprirent que les Èscédouz rejoignirent les forces d’une tribu encore plus grande nommée les Natars.
Mer 23 Avr - 21:49